Jane réussit à s'attacher Felicity

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il y a 5 ans

Jane et Felicity n'habitaient pas le même quartier et elles avaient peu de chance de se rencontrer en dehors de leur travail. Pourtant un jour dans un centre commercial, alors qu'elles étaient toutes les deux en congé, le hasard leur fourni l'occasion de se croiser. Jane reconnut aussitôt sa jeune et blonde collègue qui tenait serré un beau et grand garçon. Elle la héla familièrement, mais la blondinette fit semblant de ne pas la reconnaître en accélérant le pas. C'était mal connaïtre la dynamique et déterminée brunette. Jane furieuse de se voir ignorée, pris un autre chemin et se débrouilla, en accélérant le pas, pour surgir brutalement devant le couple dont elle avait parfaitement anticipé le déplacement.

Elle salua chaleureusement sa collègue qui interdite restait bouche bée en face d'elle. Elle se fit présenter au dénommé Brian (car tel était le nom de l'accompagnateur). Elle avait l'avantage de la surprise et comptait bien s'en servir. Le jeune homme visiblement enchanté de faire la connaissance d'une jolie fille se montra empressé. Il espérait comme tous les hommes avoir peut-être sa chance avec la nouvelle venue. Comme ils allaient déjeuner il proposa à la jolie brune de les accompagner. Jane ne se fit pas prier d'autant qu'elle, constatait amusée, une gêne croissante chez sa blonde collègue qui se trouvait littéralemet dans "ses petits souliers". Felicity en effet craignait que Jane ne fasse part des relations très intimes qui les unissait entre elle et à leur directrice.

Jane l'avait parfaitement compris et s'amusait à aborder sans cesse le sujet délicat tout en évitant soigneusement de "renverser les haricots" comme on dit en anglais. Ferlicity était sans arrêt comme sur un grill et restait tendue tout en se montrant le plus aimable possible avec sa collègue, sans doutepour tenter de l'apitoyer le plus possible. En fine mouche Jane, sans en avoir l'air, recueillit les coordonnés du vaniteux garçon qui ne demandait que ça tout heureux de l'intérêt que semblait lui démontrer la jolie brune. Ils se séparèrent tous avec effusions en se promettant de se revoir. Jane s'en alla le cœur léger, toute heureuse du bon tour qu'elle avait joué à sa jeune collègue, après tout cette dernière n'avait qu'à pas faire semblant de ne pas la reconnaître !

Le lendemain c'est la blondinette qui se précipita vers elle pour s'expliquer. Elle lui déclara en bredouillant un peu qu'elle tenait beaucoup à Brian et la supplia de rester discrète et ne pas chercher à le revoir. Jane s'esclaffa, Brian ne l'intéressait absolument pas ! En revanche ajouta-t-elle mi figue, mi raisin, elle trouvait Felicity fort à son goût ! Sa jeune collègue la regarda un peu surprise, mais Jane poursuivit imperturbable : elle voulait "sortir" avec Felicity sinon, elle serait obligée de "revoir" le beau Brian". Felicity compris parfaitement ce que sa brune collègue voulait dire. A vrai dire, elle n'était pas insensible au charme de son aînée, mais elle n'osait pas se l'avouer et encore moins le laisser savoir à sa famille ! L'intensité du désir de Jane la flattait mais en même temps la mettait mal à l'aise car elle savait pas comment y répondre.

Jane ne se fit pas prier pour lui donner davantage de précisions : elle avait tout préparé. Elle voulait que sa jeune et blonde collègue vienne la voir chez elle la dimanche suivant. Felicity confrontée brutalement à la réalité pratique, ne pu s'empêcher de rougir. Jetant un rapide coup d'œil autour d'elle et constatant avec satisfaction que personne n'avait entendu les propositions don t elle avait fait l'objet de la part de sa collègue acquiesça dans un souffle en baissant les yeux.

Le jour venu Felicity se présenta au domicile de Jane. C'était un tout petit studio, mansardé en grande partie et situé sous les toits d'un immeuble pratiquement au centre de la ville. Sa collègue l'attendait vêtu d'une simple veste de pyjama un peu longue, mais qui ne laissait pas ignorer qu'elle était entièrement nue dessous. Félicity voulut commencer la conversation mais la brune enjouée plaqua immédiatement ses lèvres sur les siennes avant de lui administrer un baiser profond d'une langue décidée. La blondinette n'eut pas même le temps de réaliser ce qui lui arrivait qu'elle se retrouva allongée sur le llit de sa collègue.

Celle-ci d'autorité commença à la dépouiller de tout ses vêtements et avant qu'elle eut le temps dire "ouf" elle se retrouva entièrement nue aux mains de Jane qui s'était débarrassée en un tour de main de sa veste. La jolie brune plaqua sa collègue au creux du lit et se mit en devoir de la faire jouir. Caresses et baisers furent distribués à profusion jusqu'à atteindre leur but. Felicity à peine remise de ses émotions et les joues encore empourprées par ces violents ébats, découvrit sa collègue entre ses cuisses en train de s'équiper d'un harnais. Quand Jane y fixa sans hésitation un accessoire en forme de phallus, elle comprit immédiatement ce qui l'attendait. Jane d'ailleurs se disposait à la pénétrer, ce qu'elle fit avec précaution mais sans faillir .

Copieusement remplie par l'objet de taille tout à fait respectable qui l'avait investit Felicity un peu honteuse d'être prise de cette façon s'abandonna de nouveau aux mains qui prenait possession d'elle. Jane excitée et pleinement satisfaite de disposer entièrement de la jeune et jolie blonde qui avait abdiquée toute fierté et qui cédait sans manière sous ses coups de boutoirs offrit un nouvel orgasme à sa partenaire, exactement quand et comme elle le voulut. Felicity n'était pas encore "au bout de ses peines". Sa brune partenaire la fit mettre à quatre pattes puis à plat ventre après l'avoir investit de nouveau mais par derrière cette fois. La blondinette eut beau protester " qu'elle ne l'avait jamais fait comme ça" elle dut accepter cette nouvelle pénétration. La lubrification intense qui s'était épanouit entre ses cuisses facilitait les choses.

Cette fois elle était vraiment morte de honte mais les sensations étaient si fortes qu'elle ne put s'empêcher de jouir de nouveau. D'être à ce point distendue décuplait ses sensations et se savoir entièrement à la merci de sa partenaire lui stimulait délicieusement l'imagination. Elle ne fit aucune difficulté quand Jane dirigeant sa tête blonde entre ses cuisses lui ordonna de la satisfaire à son tour. Elle aurait eu mauvaise grâce à ne pas rendre un peu de la jouissance qu'on lui avait si généreusement dispensée. Se savoir aussi nue vulnérable et soumise entre les cuisses brunes ne lui déplaisait pas au contraire ! Elle avait envie de s'appliquer, de se conduire en petite femme bien sage et bien obéissante pour celle qui venait de la dominer et de prendre possession d'elle de toutes les façons possibles y compris les plus secrètes. Jane fit promettre à la blondinette qui, nue entre ses cuisses, s'efforçait de lui donner du plaisir et dont elle caressait tendrement les boucles d'or, qu'à l'avenir, elle viendrait sans discuter, dans son lit, aussi souvent qu'elle, Jane, lui demanderait.

Elle assurait qu'en échange elle resterait d'une discrétion absolue sur la nature des relations qui désormais allait les unir, non seulement bien sûr vis à vis de Brian que Feliity pourrait continuer à fréquenter tant il représentait un excellent alibi que vis à vis de ses propres parents, de leurs collègues et même de leur directrice. En ronronnant de bonheur, la jeune et blonde gourmande, promit tout ce que son aînée voulait. Après tout la seule, chose dont elle avait régulièrement besoin c'était d'une "poigne" douce mais ferme qui l'emmène, quitte à la brusquer un peu, sur les chemins du plaisir. Jane était parfaite pour cela et elle était prête à la suivre partout

Felicity se réveilla enfin, il était déjà neuf heures a.m .bien passées . Elle serait en retard ! Ce n'était pensa-t-elle pas une raison pour se hâter. On était lundi matin, son seul jour de congé à part le dimanche et il lui paraissait tout à fait normal de faire la "grasse matinée". Tout le monde avait déjà quitté la maison. Elle se fit couler un bain bien tiède dans lequel elle fit couler une bonne quantité d'huile de bain parfumé. Elle serait en retard, mais après tout ne fallait-il pas se faire désirer ?

Elle prit tout son temps pour se délasser à loisir et sortit après avoir mentalement décidé de la tenue qu'elle allait revêtit pour son rendez-vous. Elle choisit donc des sous vêtement bleu ciel en soie que sa patronne lui avait donné récemment. Un petit tailleur, et un chemisier à fleurs assortis virent compléter judicieusement son ensemble sexy. Elle se mira un instant dans la porte de la grande armoire qui garnissait sa chambre se trouva mignonne et se décida enfin à se mettre en route. Elle avait près d'une heure de retard !

Quand elle arriva chez sa collègue, elle trouva Jane furieuse. Elle comprit, hélas bien trop tard, qu'elle avait commit une grosse erreur ! Elle tenta maladroitement de se justifier mais ne réussit qu'à augmenter la colère de sa collègue. Celle-ci se leva d'un coup et s'emparant des poignets de son interlocutrice lui annonça en riant malicieusement qu'elle allait lui administrer une bonne correction.. La blondinette regarda incrédule sa collègue. Jane était à peine plus grande, mais, sportive entraînée, beaucoup plus forte. Elle n'eut aucune peine à faire ployer son interlocutrice, et continuant à lui tordre implacablement les poignet à la forcer à s'étendre sur ses genoux. Maintenant fermement d'une main sa captive dont elle continuait à contraindre le membre supérieur gauche, elle entrepris de sa main droite de "préparer" sa future victime qui se débattait pour échapper à son châtiment. Malgré la douleur qui irradiait de tout son bras gauche, elle voulait encore échapper à la terrible humiliation qu'elle présentait se produire bientôt.

De sa main droite pendant ce temps Jane réussissait à trousser la jupe et à abaisser le charmante culotte en soie. Cette première défaite finit par annihiler la détermination, de la jolie blonde qui finit par se soumettre à la voix ferme qui lui commandait de rester coite; Elle éclata en sanglots en abandonna la lutte. Sur ses fesses largement dénudées, des claques sèches ne tardèrent pas à s'abattre. Elle supplia sa brune collègue de mettre fin à son tourment mais dut lui, présenter humblement ses excuses et promettre de se monter obéissante dorénavant et surtout de ne pas recommencer ! D'une voix tremblante, entrecoupée de sanglots, elle répéta tout ce que Jane lui dictait, en ponctuant ses demandes de claques cuisantes. L'infortunée blondinette n'osait plus émettre de protestation. A sa grande honte, elle rendait compte de l'excitation qui s'emparait de son sexe pour irradier dans tout son bas-ventre. Elle retrouvait avec acuité, les sensations qu'elle avait éprouvé quelques années auparavant lors de la dernière fessée dont elle avait victime.

Agée d'un peu plus onze ans, elle avait alors mentit effrontément à la femme du pasteur au cour de l'école du dimanche. L'énergique femme l'avait alors corrigée devant toutes ses camarades, sans parvenir à lui faire avouer son forfait. Déculottée en public et horriblement humiliée, la fillette avait cependant réussit à sauver la face, en persistant dans ses mensonges. Par la suite elle s'était souvent masturbée frénétiquement en repensant à cette scène.

La fessée que venait de lui administrer celle qui s'affirmait ainsi comme sa maîtresse, avait ravivé avec intensité ses souvenirs, et elle se sentait littéralement fondre sous les caresses dont elle faisait l'objet. Elle ne protesta pas quand Jane acheva de la dénuder et lui enjoignit d'aller l'attendre ainsi à quatre pattes sur le lit. Toute nue, les reins cambrés, prête à être prise, la blondinette eut tout le temps de savourer l'humiliante position qui lui était imposée, mais elle avait promit d'obéir. La cuisante brûlure qui irradiait depuis ses fesses en feu lui ôtait de toutes façon l'envie de se montrer indisciplinée. Elle senti enfin sa maîtresse approcher. Jane avec une insoupçonnée douceur la caressa longuement. Entre les mains habiles, Felicity s'abandonnait sans complexe devinant d'instinct que c'était précisément ce qu'attendait sa brune partenaire.

Entre ses cuisses coulait de son sexe la manifestation évidente de son désir. Jane recueillit la précieuse liqueur et commença en enduire l'anneau brun et froncé qu'elle faisait apparaître d'autorité entre les fesses encore rougies par leur récente correction. Felicity se cabra un peu au début, mais finit docilement par se prêter à cette préparation. Elle allait être prise de cette manière puisque Jane le désirait et il lui fallait se soumettre et accepter ce préliminaire indispensable.

L'idée l'effrayait un peu car elle savait que les sensations seraient intenses presque insupportables, mais l'idée d'appartenir totalement ainsi à la fille qui la dominait avec autant de ferme douceur était loin de lui déplaire. Cela ne fit que renforcer l'écoulement de la sève de son sexe et quand Jane perçut la complaisance du sphincter qui faisait place à tonique résistance qui prévalait jusqu'alors, elle enfonça avec précaution mais détermination l'accessoire dont elle s'était équipé. La blondinette ne put s'empêcher de cabrer de nouveau et de supplier humblement qu'on l'épargne mais elle céda sous la tendre pression qui commençait à la distendre avec une force à la fois délicieuse et presque insupportable.

Le contact régulier entre ses fesses brûlantes et le ventre ferme de Jane était infiniment agréable et les caresses incessantes de la brune sur tout le corps de la blondinette entièrement à sa merci provoquaient chez chacune des deux une indicible félicité. Bientôt la maîtresse du jeu eut bien du mal à retarder davantage l'orgasme de sa captive qui pantelante ne cessait de gémir. Elle l'autorisa à jouir et l'accompagna dans un orgasme violent et dévastateur.

Elles poursuivirent leur ébats plus sereinement. Felicity l'échine parcouru autant par les fermes caresses de sa maîtresse que par de délicieux frissons de plaisir n'en finissait pas de donner des preuves de sa soumission. Elle s'ouvrait docilement à la langue et aux doigt qui prennait possession de ses parties délicatement sensibles et s'abandonnait ensuite sans réserve aucune. Elle exécutait sur le champ et avec empressement toutes les instructions que lui donnait sa maîtresse, ravie de devoir ainsi se soumettre à la tendre et ferme autorité qui lui faisait ployer le cou pour l'encourager.

Jane décida qu'il était temps de se rendre au travail. "Le paradis de la dentelle" ouvrait ses portes à deux heures p.m. et leur patronne, l'exigeante Sally, tenait à ce que ses employées arrivent une bonne demi-heure auparavant entre autres, pour inspecter leur tenue dans les moindres détails ! Felicity attendit docilement que Jane lui rende les vêtement que sa maîtresse lui avait ôté. Jane lui tendit un à un les différentes pièces de sa parure mais déclara en riant qu'elle gardait la petite culotte en soie. Comme la blondinette protestait prudemment et sans conviction, elle s'entendit, répondre qu'elle avait tout le trajet pour trouver une excuse vraisemblable pour expliquer sa nudité à sa patronne dans "le vestiaire".. Résignée, Félicity, se mit en devoir de revêtir ce à quoi elle avait droit ! Elle essaierait de persuader Sally, qu'elle avait eu un contretemps (elle hésitait encore entre l'oubli simple, l'empressement de peur d'être en retard et l'humiliant "pipi dans la culotte" !) .Elle espérait que la fessée n'avait pas laissé trop de traces, car là, il faudrait pour le coup, trouver encore une autre explication.

A partir de ce moment, les relations entre les deux collègues devinrent encore plus étroites. Jane dirigea la vie de son amante de plus en plus, jusqu'à lui faire abandonner son petit ami : elle n'en avait plus besoin ! Felicity était heureuse : elle appréciait l'empressement et l'autorité de Jane, auxquels elle s'abandonnait complètement, sans réticence ni remords.

Scilly Malguyine

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